vous êtes ici... /

Dis-moi dix mots que tu accueilles

Depuis quelques années déjà, les élèves de 5e et 6e AB (section bilingue) participent à la semaine de la langue française en rédigeant des textes originaux. Cette année, les dix mots mis à l'honneur étaient les suivants:  amalgame, bravo, cibler, grigri, inuit, kermesse, kitsch, sérendipité, wiki, zénitude. Faisant preuve d'imagination, nos élèves ont relevé le défi et tenté d'intégrer un maximum de mots dans un texte de leur composition. Tous souhaitent une bonne lecture aux internautes...

Le week-end de Lea était fort chargé, elle n’a pas eu beaucoup de temps pour se reposer. Vendredi, elle a directement dû partir après son travail, car elle avait un rendez-vous chez le dentiste. Ca faisait déjà deux semaines qu’elle se plaignait d’avoir mal aux dents.

Après avoir examiné la bouche de Lea, le dentiste lui a annoncé qu’elle avait une carie. Il lui a expliqué qu’il allait boucher le trou à l’aide d’un amalgame. Lea en avait déjà un et savait comment ça fonctionnait.

Après sa visite chez le dentiste, elle a rejoint ses parents pour encourager son frère lors de son match de foot. Elle avait emporté son grigri en espérant qu’il porterait aussi bonheur à son frère. Effectivement, l’équipe de son frère a gagné. Les spectateurs criaient „Bravo“ et applaudissaient.

C’était le week-end de la kermesse à La Calamine et Lea comptait y aller le samedi avec ses amis. Comme elle n’avait rien de prévu l’après-midi, elle avait assez de temps pour se préparer en toute zénitude. Elle a même eu assez de temps pour aider son frère à faire ses devoirs. Il devait préparer sa présentation pour le cours de français. Il devait écrire un texte sur le peuple inuit, mais il ne pouvait pas utiliser la page Wikipédia. Il devait aussi expliquer pourquoi les publicités actuelles ciblaient principalement les jeunes entre 14 et 18 ans.

Après ça, Lea s’est dépêchée de rejoindre ses amis à la kermesse. Quand elle a vu son amie Lisa, elle était bouche-bée: elle avait combiné des couleurs horribles et portait des bijoux trop extravagants à son goût. C’était tellement kitsch!

Lea était policière. Ce dimanche elle devait remplacer son collègue qui était malade. Lors d’une enquête, elle a fait une découverte étonnante. Elle devait chercher des petits indices pour expliquer la mort d’un vieil homme et est tombée sur quelque chose de bien plus important. C’était un cas de sérendipité.

Sophie

Je me réveille comme tous les matins à sept heures. Je prends ma douche et mon petit déjeuner. Je me sens bizarre, une douleur se fait sentir dans ma bouche. J´espère que ce n´est pas une carie! Je n´ai jamais aimé aller chez un spécialiste: on vous fait attendre des heures pour que le dentiste bouche votre carie à l´aide d´un amalgame et vous dise bravo pour votre courage.

Après m´être habillée, j´ai mis mon petit grigri autour de ma nuque. Aujourd´hui, à l´école, on va écrire un test sur les Inuits et j´ai besoin de chance. Je quitte la maison et me rends avec zénitude en direction de la station de bus où m´attendent déjà mes amies.

Quand j´y suis arrivée, mes amies étaient en train de discuter de la kermesse qui a lieu ce soir au centre-ville. Elles racontent qu´il y aura une fête et que le thème sera les années 50. «Que c´est kitsch!» pensai-je. Elles se tournent vers moi et m´invitent à les rejoindre ce soir. Avec un soupir j´accepte et monte dans le bus qui vient d´arriver.

A mon arrivée à l´école, il a déjà sonné et je me dépêche de rejoindre ma classe. Je m´assieds et commence à répondre aux questions du test. Après dix minutes, je m´aperçois que j´aurai dû effectuer des recherches sur Wikipédia. Je ne peux répondre à aucune question… Bon, au moins à une. Je sais que la découverte de l´Amérique était un cas de sérendipité. Peut-être que la prof m´accordera un point pour cette réponse. De toute façon, je ne suis certainement pas la seule à ne pas pouvoir répondre à ce questionnaire. Je rends le test et retourne à ma place. Je fouille dans mon plumier et trouve des petites boules en papier. Je cible la poubelle et les lance. La prof me jette un méchant regard. Il sonne. Je quitte la classe et me dirige vers la cantine pour manger un bout…

F.

«Bravo, Bravo…!» criait le public. Les metteurs en scène avaient en tous points atteint les spectateurs qu’ils avaient ciblés avec leurs pancartes de publicités.

Le spectacle se déroulait lors de la kermesse annuelle. A cette occasion, les habitants de Nahaslamlestipekistan se déguisaient. Ils étaient vêtus de costumes kitsch, comme autrefois. Ils avaient aussi des grigris. Selon une légende, ces objets veillent sur la personne qui les porte. Chaque année, les habitants associaient un certain thème au spectacle. Cette année, c’était «une culture différente». Les acteurs représentaient un peu de tout: des Hindous, des Chinois, des Inuits,… Ils présentaient aussi les lacunes des civilisations les plus pauvres: un manque d’hygiène provoque des champignons, des infections, des problèmes dentaires,… Ces sociétés sont si pauvres que les gens ne peuvent même pas s’offrir d’amalgame pour soigner leurs caries. Mais tous les spectateurs savaient que le spectacle ne se basait que sur des informations tirées du site internet Wikipédia, et que la fiabilité de celles-ci est fortement mise en doute. Le spectacle laissait aussi découvrir des cultures qui ne sont pas riches, mais spirituellement comblées, comme le bouddhisme, à l’origine du mot zénitude.

Une fois le spectacle terminé, notre bourgmestre tenait toujours un discours sur l’histoire de la ville. Il évoquait généralement la découverte de la bombe atomique, une vraie sérendipité. En effet, des scientifiques l’avaient découverte par hasard en voulant simplement arracher des neutrons d’un noyau. Enfin, peu importe. Notre fête se terminait toujours par un bal masqué, qui rassemblait beaucoup de jeunes et au cours duquel circulaient beaucoup de boissons alcolisées.

T.M.

Chez les Inuits, la kermesse est importante. C’est la fête qui compte le plus pour eux. Mais, l’année passée ils avaient ajouté un spectacle kitsch aux activités traditionnelles. Ce n’était pas un divertissement qui intéressait tout le monde. Les organisateurs ciblaient des personnes plus âgées qui aiment la mode rétro. Les acteurs, par contre, étaient des jeunes gens pleins de zénitude. Mélanie, par exemple, ne s’énervait jamais et ne courait jamais. Avant de commencer les entrainements, les acteurs s’étaient informés sur Wikipédia. Ils y avaient recherché des informations sur la mode rétro pour mieux pouvoir incarner leur rôle. Par hasard, Raphaela était tombée sur une image qui représentait la place de la kermesse de leur village. Sur cette image étaient représentées plusieurs personnes qui ressemblaient à des dentistes. Un de ceux-ci plaçait un amalgame. C’était vraiment un hasard d’avoir trouvé cette image. On pourrait sans doute parler de sérendipité. En tout cas, elle se disait que leurs ancêtres avaient déjà eu la même idée qu’eux. Le jour du spectacle, tous les jeunes gens, d’habitude si calmes, étaient nerveux. Du coup, tous avaient sorti leur petit grigri. L’un avait un talisman, l’autre une amulette et encore un autre un porte-bonheur. Lors la fin du spectacle, les spectateurs s’étaient levés en criant «Bravo»! Ils frappaient dans leurs mains et étaient fascinés. Le spectacle était une vraie réussite.

L.V.

L’année dernière à la kermesse, mon copain m’a offert un grigri qu’il avait gagné. C’était un pendentif en forme de cœur, à l’intérieur duquel était gravé un Inuit. J’en étais tellement heureuse, parce qu’il me plaisait vraiment bien et que c’était le premier cadeau qu’il m’avait offert, que je l’ai de suite attaché à mes clés. Après la kermesse, on est allés chez lui à la maison. En entrant dans sa chambre, j’ai aperçu des bougies placées à terre, des pétales de roses sur son lit et de la musique calme. C’était un peu kitsch, mais j’ai trouvé ça super beau et j’ai vu qu’il s’était donné beaucoup de peine. Il ne ciblait que mon bonheur. Tous les deux, on avait eu beaucoup de stress les derniers temps et on cherchait un peu de zénitude, et donc cette soirée nous a fait du bien à tous les deux.

Le lendemain, je devais participer au championnat d’Europe de danse et j’étais super nerveuse. Mon entraineur et moi, on y est allés en espérant que je sois classée dans les deux premières de ma catégorie. Mais à la remise des prix, on m’a annoncé que je suis devenue championne d’Europe! Toutes les années, j’avais espéré le devenir et maintenant je l’étais. Jusqu’au moment où on m’a annoncé qu’une erreur s’était produite… j’étais deuxième. C’était un choc au début, mais ensuite j’étais quand même contente de mon prix. Le public criait «Bravo!, Bravo!».

Quand je suis rentrée à la maison, ma petite sœur, qui voulait devenir journaliste, a voulu écrire un reportage sur ce championnat- Mais quel amalgame! Elle avait tout mélangé. Je l’ai aidée et j’ai également cherché des informations sur Wikipédia.

A.R

J´avais un rendez-vous chez mon dentiste. Il a ciblé une de mes dents parce qu´il y avait une carie. Le dentiste m´a proposé de m´endormir parce que cette carie était assez grande. Pendant qu´il soignait ma dent, moi je rêvais d´un peuple appelé les Inuits. C´était très marrant parce que ces gens portaient beaucoup d´affaires importantes à leurs yeux mais, pour moi, ce n´était que du kitsch. Après peu de temps, le dentiste avait fini et moi, je me suis réveillé. Il m´avait posé un amalgame sur la dent pour que ce problème ne se reproduise plus. Il était très content, c´est pour ça qu´il criait «Bravo, Bravo!». Mais je savais ce qui m´attendait parce que je m´étais informé sur Wikipédia.

F.Barth

Il était une fois des Inuits qui vivaient en Antarctique. Ils voulaient se mettre en route vers un monde inconnu. Ils ciblaient une nouvelle vie. Alors ils sont partis, en emportant avec eux leurs grigris. Lors de leur voyage, ils ont aperçu de nombreuses choses inconnues pour eux. Arrivés dans une grande ville, ils ont directement découvert la kermesse. Ils n'étaient pas habitués à tout ce kitsch. Ils étaient contents d'avoir trouvé un nouveau monde. Soudain, on entendit le bruit de l'applaudissement, le bravo. Peu à peu, ils ont effectué la découverte de l'internet, des sites utiles comme Wikipédia.

B.L.

Deux Inuits sont à la recherche d’un criminel qui a tué un de leurs amis. En suivant ses traces, ils sont tombés sur une kermesse, dont ils avaient cherché l’adresse sur Wikipédia. En effet, à ce qu’il paraît, le criminel y aurait placé sa friterie.

Arrivés sur place, Ben et Alice, les deux Inuits, découvrent des stands de jeux où l’on peut gagner des objets kitsch, comme des objets tout roses avec plein de brillants et des bracelets avec des pendentifs en forme de donuts. Ben décide de jouer à un des jeux: il choisit celui où il doit cibler une pomme avec un fusil à plombs. Bravo! Il gagne un des bracelets et l’offre à Alice, qui l’utilisera comme grigri. Elle le gardera pour toujours, car elle aime bien Ben.

Après cette pause, ils poursuivent leur recherche et tombent amoureux. Quelle sérendipité! Alors qu’ils recherchaient un monstre, voilà qu’ils trouvent l’amour. Ils choisissent de laisser tomber la recherche, et, depuis ce jour-là, ils vivent ensemble dans la zénitude.

Lieve B.

Le 27 septembre avait lieu la kermesse à la Calamine. Je me rapprochai d'une attraction entourée par une foule de gens. En effet, c'était un homme qui jetait des couteaux et tirait des flèches sur une plateforme, sur laquelle était attachée une jeune femme. L'artiste avait l'air d'un Chinois ou même d'un Inuit. Il portait un collier en argent, je crois que c'était son grigri mais je n'en suis pas sûr. L'Inuit portait des vêtements colorés mais très kitsch. Après un silence complet, il lança la lame et réussit son coup. Dans un bruit énorme, toute la foule cria: "Bravo!". Dans le public, une femme s'évanouit en voyant cet acte. Quand je me rapprochai d'elle, je remarquai que c'était ma dentiste. C'était marrant car j'avais un rendez-vous chez elle, quel hasard! Elle devait me remplacer l'amalgame de ma dent cassée. Cette procédure fait très mal, d'après les renseignements que j'ai obtenus sur Wikipédia.

A.N.

La semaine passée, je suis allée chez le dentiste. Comme j’avais beaucoup de caries, il m’a posé un amalgame sur les dents. Étant donné que j’avais peur, ma mère m’avait donné un grigri, qui ressemblait à un Inuit. Ce grigri était trop kitsch pour moi, mais comme je voulais connaître sa signification, j’ai consulté Wikipédia pour la trouver. Quoi qu’il en soit, ce grigri m’a bien aidée car les douleurs ne sont plus là. Le dentiste a travaillé avec zénitude et a calmement ciblé mes dents pour que je n’aie plus de caries. Après qu’il avait fini, je lui ai dit bravo pour son boulot. Puis je suis allée à la kermesse avec une amie. J’y ai rencontré un garçon que j’avais cherché pendant des mois, mais il avait malheureusement une copine.

Parath S.

Yan, un jeune garçon recherche sur Wikipédia le meilleur dentiste du pays. Son opération doit être parfaite, tout doit être fait le mieux possible: le soin des caries, l’amalgame, l’extraction de la dent,… Tout ca juste parce qu’il a peur et il veut que ses parents s’écrient: «BRAVO!».

Les parents de Yan disent toujours que pour ne pas avoir peur, le secret c’est de vivre dans la zénitude. Mais il ne les croit pas, il a seulement confiance en son grigri, car celui-ci lui a porté bonheur l’année passée à la kermesse lors d’un jeu de chance. De son côté, la grand-mère de Yan lui raconte toujours l’histoire d’un jeune Inuit, dont la peur a disparu, après qu’il avait fait l’expérience de quelque chose d’angoissant. Elle dit même que c’est devenu kitsch, seuls les bébés auraient encore peur.

Un jour, la mère de Yan lui a proposé de l’emmener à Disneyland. Il était fou de joie et a directement sauté dans la voiture. Malheureusement, il a atterri chez le dentiste, et cette fois il n’y avait plus de retour! Il haïssait sa mère à jamais, mais sa peur du dentiste s’est envolée.

Y. G.

Le 23 mas devait être un jour normal à la kermesse, mais à la fin de cette journée ceci devint un jour mémorable. Mes amis et moi, nous étions allés à la kermesse pour nous amuser. Dans notre groupe, nous étions trois garçons et une fille. La fille était un peu bizarre: elle avait un style kitsch, portait toujours un grigri sur soi et ne sortait jamais de sa chambre. Avant qu'elle accepte de venir avec nous, nous avions discuté pendant des heures. En plus, elle ne savait pas ce qu'est une kermesse, donc elle avait recherché le mot sur Wikipédia. Mais le pire c'est qu'elle ne s'énervait jamais, même si on la provoquait, elle montrait toujours une zénitude effrayante. Malgré ses petits défauts, nous l'aimions bien. Une fois arrivés, nous rencontrâmes un groupe de personnes ressemblant à des Inuits. A première vue, ils semblaient gentils mais cela devait changer. A la fin de la journée, en quittant nous les revîmes. C'était un vrai hasard, mais cette fois-ci, l'un d'entre eux semblait être fâché sans aucune raisons. Il prit son couteau et cibla mon ventre. Cela fut le déclencheur d'un gros combat, chacun fut attaqué. Sans que nous l'ayons remarqué, une foule s'était formée autour de nous et les gtens nous encourageaient avec des bravos. Nos groupes étaient complètement mélangés, un vrai amalgame!

S.B

La Kermesse

Ce soir, nous allons à quelques filles à la kermesse de La Calamine. Lucie, comme toujours porte son grigri sur elle, une petite chaine. Après quelques minutes, Julie remarque qu’elle a perdu son écharpe. Pleine de zénitude, elle refait  le chemin en sens inverse et retrouve son écharpe attachée à un banc.

En compagnie de l’Inuit de La Calamine, nous parlons avec le bourgmestre, et attendons Stéphanie sur la place. Ensuite, nous partons faire un tour et mangeons un amalgame de différents fruits. Arrivée au stand de tir, Lucie remporte le plus grand cadeau, et tous les visiteurs applaudissent et crient  BRAVO !

Malheureusement ce cadeau n’était rien d’autre que du kitsch. Nous avons fait un petit wiki pour pouvoir répondre aux questions d’un concours. L’organisateur de ce concours cible les passant avec des slogans. En route pour la maison, nous nous sommes arrêtées devant une prairie, en espérant trouver un trèfle à quatre feuilles, mais nous n’avons pas trouvé ce que nous espérions trouver. Nous avons trouvé des pièces très antiques, une vraie sérenpidité.

A.S.

Une kermesse de fou

C’est le jour de la kermesse à La Calamine. Pendant la journée je suis allée chez le dentiste et il a vu que j’avais une carie, donc il m’a placé un amalgame sur ma dent. Depuis ce moment-là, j’ai mal aux dents. Le soir, quand je suis allée à la kermesse avec mon ami, que chacun surnomme « wiki », car il sait tout, on a trouvé par sérendipité un grigri de couleur bleu. Arrivés là-bas, on s’est de suite rendus à un stand de tir. Sur place mon ami a décidé de tirer pour gagner un inuit en peluche. Il a tenu le grigri dans ses mains et il a donc ciblé la plaque avec beaucoup de zénitude, sans se laisser déconcentrer, et hop, il a touché le milieu et toute la foule autour de nous a crié « Bravo ». Enfin, il a choisi une poupée avec un costume rose et des chaussures brillantes pour sa sœur, c’était vraiment du kitsch. Heureusement qu’il avait trouvé un porte bonheur.

C.M.

Un jeudi en décembre, Pierre se promenait avec son meilleur ami, Paul, à la kermesse de La Calamine. Ils étaient à la recherche d’amalgames pour instaurer de la Zénitude dans la chambre de Charles. Charles était un excellent programmeur, il a déjà créé plusieurs wikis, et durant une de ses recherches, il a effectué une découverte inattendue et il a trouvé comment cibler correctement la publicité de ses wikis, par rapport aux jeunes. Une fois arrivés aux stands des Inuits, ils s’arrêtèrent et leur demandèrent comment ils pouvaient gagner le kitsch qu’ils recherchaient déjà depuis deux heures. Pour gagner cet objet qui ressemblait à un grigri, les deux ont dû tirer á l’arme et casser un maximum de craies, déposées verticalement sur une table. « Bravo ! » s’écria l’un des Inuits, c’était Paul qui gagna l’objet tant convoité. Trois heures plus tard, ils se rendirent chez Charles qui était à nouveau en train de programmer des wikis. En voyant le cadeau que Pierre et Paul lui ont fait, il fondit en larmes, car cet objet, il rêvait d’en posséder un depuis qu’il était enfant.

G.C.

C´était un jour comme tous les autres, les sapeurs de la caserne de Liège n´avaient pas encore eu une seule intervention. Mais, subitement un grand incendie de maison se déclara. Dès qu´ils arrivèrent sur le lieu de l´intervention, ils aperçurent un étrange amalgame de gens. La maison brulait complètement. Le chef d´intervention ordonna qu´un binôme entre pour sauver des habitants qui n´avaient pas eu la chance de sortir assez tôt. Avant d´entrer, un des deux sapeurs sortit un grigri et le regarda comme chaque fois. Les deux sapeurs pénétrèrent à l´intérieur. Au deuxième étage, ils entendirent des cris et se dirigèrent dans leur directionde manière ciblée. C´était une famille d´inuits. Les sapeurs se demandèrent comment cette famille avait pu vivre dans un tel désordre de symboles religieux, quel kitsch ! Malheureusement, le chemin d´entrée était barré par les flammes et ils ne savaient plus comment sortir. Vu ce problème, le commandant fit positionner une échelle à la fenêtre. Juste au moment où ils sortaient par la fenêtre, les flammes ravageaient toute la chambre mais tous étaient hors de ce bâtiment. Les spectateurs criaient bravo pour rendre hommage aux sauveteurs. Après que les flammes soient éteintes, le commandant entra dans la maison et trouva dans le dernière étage le corps complètement calciné d´un petit enfant qui n´avait eu aucune chance de s´enfuir. De retour à la caserne, le commandant qui avait trouvé le corps du petit enfant, se retira dans une chambre pour retrouver sa zénitude.

D.H.

La kermesse est un drôle d’amalgame de gens. Elle compte une multitude de stands auxquels on peut dépenser de l’argent et essayer de gagner du kitsch. On se dit :  «Bravo, enfin gagné» même si le prix gagné ne vaut même pas l’argent dépensé. Déjà des semaines avant la kermesse, des actions publicitaires ciblent la population et incitent à venir participer à cet événement. Certains stands ont un thème comme les Inuits ou les cowboys. Chacun essaye à son tour d’arriver à gagner, souvent avec zénitude.

D.H.

Il était une fois une petite fille du nom de Kyra. Elle vivait sa vie en toute zénitude, elle aimait la kermesse et tous les petits accessoires kitsch. Kyra avait 5 ans et fréquentait encore l’école gardienne. Un beau jour, elle a ciblé des yeux un jouet, avec lequel elle voulait absolument jouer. Et bravo, elle a réussi à le prendre à un autre enfant, et cela uniquement suite à une discussion. Depuis ce jour, l’on sait qu’elle aura une belle carrière politique devant elle. 20 ans plus tard, elle a aussi déjà pratiqué son premier amalgame. Et parce qu’elle l’a tellement bien fait, elle a pu participer à un grand congrès en Amérique. Arrivée là-bas, elle a rencontré beaucoup de personnes de différentes nationalités et apparences, comme des Chinois, des Inuits, des Français, … Certains d’entre eux étaient des politiciens, d’autre des scientifiques renommé ou même des scientifiques qui n’ont que découvert une nouvelle matière en toute sérendipité. Kyra portait sur elle son grigri porte-bonheur, c’était sa maman qui le lui avait donné. Le soir ils, Kyra et ses collègues, recherchaient encore dans des Wiki des nouvelles méthodes d’éducations d’enfants. Et c’est comme cela que termine l’histoire d’une petite fille qui est devenue une jeune femme.

 J.L.

On était lundi, le lundi de kermesse. L’histoire date. J’avais à peu près 8 ans. Moi et Melina avions décidé de tester ce truc de fou, la cible. C’était un nouveau jeu installé à la kermesse, où l’on pouvait gagner des inuits en peluche, que tout le monde désirait tellement avoir. Pour en obtenir un, il fallait toucher le centre de la cible. Melina a essayée en première. Mais elle a gagné un truc de kitsch. Comme d’habitude, elle a commencé sa crise. Mais bon c’est la vie. Le prochain tour c’était à moi. Plein de gens étaient autour de nous. J’ai atteint le centre et les gens criaient « bravo ». Apparemment, j’étais la première à avoir touché le centre et c’est pour cela que l’homme dans la cabine était enthousiaste. Peut-être que c’était à cause de mon grigri que j’avais la chance. Et l’homme m’a même accordé un deuxième essai de façon que Melina puisse aussi avoir son Inuit. Et aussi pour qu’elle reste zen et ne fasse pas sa grosse tête. Donc il m'a lancé la flèche. Mais celle-ci a atterri dans ma dent. Juste cette terrible dent où j’avais une carrie. Super, maintenant je pouvais encore aller chez le dentiste. Heureusement, le dentiste a pu me réparer ma carrie avec un amalgame.

L.V.

Cet après-midi, j’avais un rendez-vous chez le dentiste, qui m’a posé un amalgame contre mes carries. La soirée, j’étais à la kermesse avec mes amis. Arrivé là-bas, j’ai joué au lancer de balles au stand du vieux monsieur, qui a des ancêtres Inuits. Je me suis renseigné dans un wiki à ce sujet Je me suis concentré et j’ai ciblé l’objectif afin de gagner un grigri. J’étais complètement dans ma zénitude jusqu’à ce que je me sois effrayé à cause d’un de mes amis, qui a tapoté sur mon épaule pour me souhaiter bonne chance. Mais j’ai réussi à gagner, par sérendipité. Du coup, j’ai récolté les bravos de mes amis. Ils pensent toutefois que cela fasse un peu kitsch mais moi je l’aime bien.

M.I.

C’est à la kermesse que j’ai découvert par hasard mon nouveau grigri, rose kitsch. Le jeu était simple: cibler des boîtes. Une fois que toutes les boîtes s’étaient écroulées, le propriétaire, un Inuit, cria: Bravo! Pendant le moment même mon cerveau créa un amalgame en associant l’Inuit avec des Chinois. Arrivé à la maison, j’essayai de résoudre l’énigme, car je savais pas ce que cet objet représentait. Grâce à l’aide de Wiki, j’appris que l’objet symbolisait en Chine la zénitude. Cette découverte peut donc être assimiliée à un cas de sérendipité.

M.F.

Hier soir, j’étais à la kermesse. Pendant mon premier tour, j’ai vu un stand qui utilise comme cible, une personne déguisée en Inuit. Puis, j’ai trouvé Kevin, il devait répondre à une question pour gagner un grigri. Vu qu’il devait donner un exemple d’amalgame, je l’ai aidé en cherchant sur un wiki ce que ce mot veut dire. Après qu’il ait choisi sa récompense, on est allés au stand de «chamboule tout», décoré avec beaucoup de kitsch. Il me restait plus qu’une boîte pour gagner mais je ne pouvais plus lancer de balle. Tout à coup, la dernière boîte est encore tombée et le propriétaire m’a dit « bravo ! Tu as gagné ». Après avoir choisi mon prix, je suis rentré à la maison pour passer le reste de la soirée en zénitude.

G.T.

J’adore ce jour, c’est un de mes préférés: la kermesse est en ville. Je suis prête pour aller m’amuser et m’éclater. Arrivée sur place, j’aperçois mon meilleur ami et nous allons ensemble au stand de tir. Je ne suis pas douée pour me servir d’une carabine à plomb. Pourtant nous revenons chaque année  pour retenter notre chance.  Le stand est tenu par un homme qui me paraît étrange. On dirait un inuit avec des dents pleines d’amalgames. Comme d’habitude,  j’ai emporté mon grigri  dans mon sac et j’espère qu’il me portera bonheur. Dans le stand, je ne vois aucun cadeau qui me ferait plaisir, ce n’est que du kitsch. Alors je décide de tirer sur une cible plus grande pour gagner au moins un briquet.  Afin de calmer mes nerfs, je respire plusieurs fois profondément et je trouve  enfin ma zénitude. Tout à coup, le plomb touche la cible adjacente et je gagne le gros lot. Mon ami s’écrie : «Bravo!». Comme cadeau je choisis la balle de foot que je souhaitais avoir depuis longtemps.

V.F.

Week-end des dix mots

Vendredi passé, après l’école, je me suis rendu à la kermesse du village à La Calamine. Dans la soirée, une soirée kitsch avait lieu dans la tente sur la grand place. Samedi, je suis allé rendre visite à un ami qui venait de rentrer d’un échange d’étudiants. Nous avons passé un moment de zénitude en écoutant de la musique ensemble et en racontant des histoires. Sur le chemin du retour, j’ai été confronté à une bande de jeunes délinquants, ceux-ci ciblaient des piétons qui n’étaient pas accompagnés pour les dérober. Hélas pour eux, un policier se trouvait à proximité et est parvenu à m’aider. Les malfrats se sont, par contre, échappés. Je tiens quand même à dire bravo à l’agent qui a résolu cette situation! Dimanche, lors de mes recherches pour un travail scolaire, j’ai trouvé par hasard sur Wikipédia un article qui parlait d’un projet qui s’appelle «10 mots pour la francophonie». Pourtant, je faisais une recherche sur les droits des Inuits. J’ai perdu beaucoup de temps à m’éloigner de mon objectif primaire quand, tout à coup, ma sœur est entrée dans ma chambre pour me rappeler que je ne devais pas oublier mon travail. On peut vraiment la considérer comme mon grigri, elle est toujours là pour me sauver et me mettre en sécurité ! Finalement j’ai pu rendre mon travail le lundi matin à Madame Laurent.

K.N.

 

Si vous souhaitez qu'une photo ne soit plus publiée sur ce site, merci de contacter le Webmaster (info@cfa-kelmis.be).