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Textes des élèves de 5AB - Francophonie 2014

La visite de l'hurluberlu
Un lundi matin, pendant qu'Arnaud s'enlivrait dans sa cellule, le meurtrier le plus ouf de toute la prison se mit à ambiancer. Ensemble, les prisonniers faisaient un charivari à tire-larigot! Les policiers censés surveiller les prisonniers se racontaient des fariboles! Lorsque la ministre de l'intérieur voulut leur rendre visite, elle fut choquée par tout ce charivari. Elle fut accueillie d'emblée par un prisonnier timbré portant un lecteur-CD qui diffusait un énorme tohu-bohu… En sortant de la prison, elle ressemblait à un hurluberlu! Suite à sa visite, elle roula en zigzag et percuta un pont.

C.G.

Mes vacances en Espagne
Ma première soirée en Espagne était superbe. Nous étions dans une des plus grandes discothèques d'Ibiza, la fête battait son plein et les personnes y ambiançaient gaiment. Mes meilleures amies ont bu de l'alcool à tire-larigot. C'est pour ça que le lendemain, elles avaient toutes des maux de tête. Nous avons passé toute la journée à la plage, le temps était parfait. Ma cousine, qui adore lire, s'est enlivrée dans son livre préféré. Elle ne voyait, n'entendait et ne remarquait plus ce qui se passait autour d'elle.
Ce soir-là, nous voulions aller à un concert hard-rock. Nous pensions que la musique devait être vraiment chouette, mais c'était du charivari. Nous n'y sommes pas restées longtemps, mais finalement notre soirée était belle quand même. En sortant du concert, Céline ne racontait que des fariboles, personne ne la prenait au sérieux. A cause des quelques verres d'alcool que je m'étais permis, je marchais en zigzag. Quelques garçons étaient intéressés à faire notre connaissance, mais c'étaient tous des hurluberlus! Ces gars ne nous plaisaient pas vraiment. Ma meilleure amie Stéphanie voulait encore aller à la plage à 3 heures du matin, c'était vraiment trop ouf! Quelle idée de timbré de nager pendant la nuit sans avoir la sécurité de la présence du maître nageur!
Finalement, je peux dire que ces vacances pleines de tohu-bohu resteront les meilleures que je n'aie jamais connues.

V.F.

Quel tohu-bohu et quelle folie pendant ce match de foot!
Les gens ambiançaient et dansaient dans toutes les directions. Quelques hommes, enlivrés, racontaient des fariboles pour impressionner les femmes. Or celles-ci étaient juste venues pour s'amuser et boire à tire-larigot et n'étaient pas intéressées par ces histoires imaginaires.
Tout à coup, un charivari a interrompu l'ambiance. Un timbré est entré avec sa clarinette aiguë dans la salle et s'est démené comme un hurluberlu parmi tous les gens dansant le zigzag moderne comme des oufs.

M.F.

La soirée de ouf
La semaine passée, un des mes amis a organisé une soirée. Ce soir-là, j'ai ambiancé pendant que mes amis ont bu à tire-larigot. Quelques-uns ont commencé à marcher en zigzag, raconter des fariboles ou se comporter comme des hurluberlus. Un des voisins a dû appeler la police à cause du charivari. C'est vrai qu'à la fin c'était un tohu-bohu. Les policiers ont dû nous prendre pour des timbrés. Le lendemain, je devais lire un livre pour l'école. Celui-ci était plus intéressant que je ne le croyais, au bout de quelques pages, j'étais enlivré.

D. H.

Ma première fête
Comme je m'étais enlivré pour l'école pendant la semaine, mon frère, ce ouf, m'a invité à sa fête. Arrivé là-bas, je me sentais comme un hurluberlu, entouré de ces gens, et mon frère a ambiancé pour attirer leur attention. La musique faisait un charivari que je ne supportais plus. Alors, j'ai bu à tire-larigot et, après quelques verres, j'ai raconté des fariboles qui amusaient les fêtards. Lorsque je voulais retourner à la maison, j'ai conduit en zigzag et un timbré s'est mis sur mon chemin si bien que j'ai provoqué un accident. Les sirènes des ambulanciers et des policiers ont déclenché un véritable tohu-bohu. Mais le plus important, c'est que personne n'était blessé, sauf nos voitures.

M.I.

La honte familiale!
Mon aventure débute le 24 juillet de l'an dernier. J'étais dans un train avec mes amies, nous étions en route vers un festival. Pendant que les autres dormaient, je m'enlivrais tranquillement dans mon livre favori. Une foi arrivées, on a ambiancé et on a aperçu un groupe de personnes qui buvaient de l'alcool à tire larigot. Quelques heures plus tard, on a retrouvé ces mêmes timbrés qui marchaient en zigzag. Je me souviens que mon amie Céleste leur a crié: "Hé, faites attentions à ne pas vous vomir dessus! Espèces de oufs!"
Sur la place, plusieurs scènes diffusaient différentes musiques. On se tenait au milieu et c'était un vrai charivari!
On a donc décidé de se rapprocher d'une scène. Au-devant de celle-ci, j'ai rencontré par hasard ma cousine. Elle m'a raconté de vraies fariboles. De plus, elle avait l'air d'un vrai hurluberlu! Ensuite, je lui ai dit de retourner à la maison, ce qu'elle a aussi promis de faire par la suite. Mais, tout d'un coup, je l'ai à nouveau aperçue, mais cette fois sur la scène!
Il régnait un tel tohu-bohu que mes amies et moi avons décidé de rentrer à la maison.

J.L.

Un carnaval de ouf
Au carnaval à La Calamine, les gens, surtout les hommes, aiment boire de la bière à tire-larigot. D'habitude, ils ambiancent ceux qui n'ont pas bu autant qu'eux. Pendant les cortèges, dans les rues et sur les chars, les oufs de carnaval dansent comme des timbrés, adorent faire du charivari et aiment faire la fête. La plupart des gens sont un peu hurluberlus, surtout ceux qui ont bu! Souvent, les saouls racontent des fariboles. Chez nous dans la commune, chaque année, trois princes carnaval règnent sur le village: ils lancent des chiques et des confettis. Le soir, dans les salles, règne le tohu-bohu et comme chacun a bu à tire-larigot, tout le monde marche en zigzag.
Le lendemain, en arrivant chez moi, j'ai bien dormi, et, plus tard, je me suis enlivrée de mon roman préféré.

C. M.

Le jeudi des femmes
C'est le jeudi des femmes. Dans les rues, les vieilles femmes ambiancent le cortège. Dès le matin, elles fêtent, elles dansent et font les folles. Les hommes, eux, n'ont rien à dire ce jour-là, c'est pourquoi ils boivent à tire- larigot et doivent s'enlivrer des mots d'amour qu'ils reçoivent et se soumettre à la femme. Les hommes un peu timbrés se déguisent en femmes pour pouvoir participer au cortège et s'amuser autant que les femmes. Les dames un peu ouf font du charivari sur la grand place et se racontent des fariboles l'une à l'autre. Parfois, au bord de la rue, on voit aussi des jeunes filles qui ressemblent à des hurluberlus à cause des boissons alcoolisées. En arrivant en zigzag à la maison, elles chantent et cela résonne comme un vrai tohu-bohu.

A.S.

Une fête de ouf
J'ai ambiancé cette fête en buvant de la bière à tire-larigot. Après que j'ai marché en zigzag, les gens m'ont traité d'hurluberlu. Mais ceux-ci n'étaient pas mieux, j'en ai vu qui faisaient du charivari, même un garçon qui s'était enlivré la veille criait comme un ouf. En fait, c'était un grand tohu-bohu. Quand j'ai raconté cela à mes amis, ils m'ont dit que j'étais timbré et que c'étaient des fariboles.

G.T.

Une soirée de ouf!
Hier soir, mon amie a fêté son anniversaire. On est allées à la discothèque avec quelques amies. Comme je pouvais boire à tire-larigot, je m'amusais bien. Je me sentais dans un état proche de l'ivresse, j'attirais l'attention de plein de gens. Je dansais, buvais, j'ambiançais à fond, j'oubliais tout autour de moi.
J'ai parlé à un garçon, en lui disant de telles fariboles qu'il m'a dit: "Mais tu es timbrée! ". En plus, il ne me comprenait pas bien, car il régnait un véritable tohu-bohu. J'étais vraiment gênée, le garçon s'est moqué de moi.
Quand je suis rentrée chez moi, j'ai marché en zigzag et, en chantant, j'ai chanté si mal que ça a provoqué un charivari. C'était une soirée de ouf que je n'oublierai jamais de ma vie. Depuis lors, mes copines m'appellent l'hurluberlu. Depuis ce soir-là, je m'en tiens à ce nom.

L.V.

 

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